New Age
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

New Age


 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez|

Spécial : Hôpital Psychiatrique.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage

Shiroi Jigoku

Shiroi Jigoku

Professeur
❖ Sexe : Masculin
❖ Arrivé le : 14/11/2012
❖ Missives : 100
Spécial : Hôpital Psychiatrique. Empty
MessageSujet: Spécial : Hôpital Psychiatrique. Spécial : Hôpital Psychiatrique. EmptySam 23 Fév - 13:28

La folie puis tout redevient blanc.


Chapitre premier : La nuit qui sonne le gong funèbre de la fin d’une machine infernal.

Il était tard, Shiroi, après une journée de cour puis un bon restaurant en compagnie d’Eliot son majordome. Assez fatigué, vu qu’il était tout de même plus de minuit, il avait décidé d’aller se laver en compagnie d’Eloit vu que c’était son majordome qui le lavait. Shiroi se déshabillait donc dans son sublime et grandissime salle de bain où il était possible de prendre un bain ou une douche. Celui-ci avait décidé de prendre une douche bien chaude.
Une fois nu, il avait regardé son majordome qui pour une fois c’était mis nu lui aussi avec un grand sourire pervers. Shiroi était habitué que son majordome se foute de sa gueule royalement et ouvertement mais Eliot n’avait pas à se mettre nu devant lui, il avait un short de plage exprès pour bien lui faire comprendre que Shiroi ne voulait en aucun cas coucher avec son majordome et pour lui faire aussi comprendre qui était le patron. Shiroi avait donc demandé à son majordome d’enfiler sa tenue pour pénétrer dans la douche mais celui-ci avait déjà ouvert la porte de la douche et avait brusqué son maître dedans. Il était ensuite renter et referme la porte de douche derrière-lui. Shi’ était tellement fatiguer qu’il l’avait laissé faire, il voulait juste la bonne sensation d’eau chaude revigorante sur sa peau et ses cheveux. Eliot avait allumé alors l’eau qui était vite chaude par un système très simple. Il avait mis le jet d’eau sur un socle qui le soutenait pour que l’eau tombe sur Shiroi. Il avait pris du savon dans ses mains au lieu de prendre un gant comme il était coutume de faire. Il passait alors un long moment à laver son maître qui n’avait pas remarquer les mains baladeuses de son serviteur. Il avait finalement comprit que son majordome profitait de la situation pour le tripoter, il essai alors de le repousser et de se débattre mais vu qu’Eliot est physiquement plus fort que lui il n’avait pas réussi à le repousser. Il avait bien essayé des tonnes de fois son don de manipulation des souvenirs mais ceci n’avait eu aucun effet sur l’intéresser, comme-ci, il était immuniser.
Shiroi se fit finalement violé par son majordome, il se rendit compte qu’Eliot le voulait vraiment depuis tout ce temps et que ce n’était pas qu’une plaisanterie de mauvais goût. Il comprit que les innombrable fois où Shiroi draguait quelqu’un, pas loin le majordome le rappelai à l’ordre. Qu’il avait voulu à tout prix par n’importe quel moyen faire partir Jade pour qui, son maître avait un petit faible pour elle. Et aussi toutes les autres petites taquineries qui faisaient qu’Eliot était fou de lui.
Pendant ce long moment pénible pour lui, Eliot n’arrêtait pas de lui dire des « je t’aime » à tout va, et aussi des « tu es rien qu’à moi mon petit maître ».
Etait Sorti de la douche, le majordome l’avait séché correctement puis l’avait simplement habillé d’un caleçon. Lui, s’était mis en boxer et bas de pyjama. Il était descendu avec Shiroi qu’il avait tenu par la main dans la cuisine où il lui avait préparé un doliprane et un somnifère dans un petit verre d’eau. Il lui avait dit : « A présent c’est moi qui te contrôle, comme avant mon petit Shiroi, c’est juste qu’avant je ne t’aimais pas mais là, je suis fou de toi. Tu vas bien dormir et te reposer de toutes ces émotions. Je me souviens de tout, je n’ai jamais oublié, je te le faisais croire et ça marche toujours. J’ai moi aussi une capacité, celle de a fermeture d'esprit, un don qui permet d'empêcher des attaques psychique ou l'intrusion d'une autre personne dans son esprit. Donc, ton pouvoir n’a aucun effet sur moi. » Quand Shiroi avait entendu ça, il se crispa de plus en plus, regardant ainsi un couteau posé simplement sur la table de travail. Eliot allait se retourner, il faillait vite agir, se laisser être manipuler ? Plus jamais se disait et se dit toujours Shiroi. Dans un élan de folie il avait pris le long couteau dans ses mains de façon à pouvoir poignarder son serviteur fou puis quand celui-ci se retourne vers lui il lui avait planté dans hésitation le long et grand couteau de cuisine dans le cœur bien profondément. Eliot avait dit tout en s’accrochant à Shiroi son dernier mot « pourquoi » avant d’être tomber au sol en arrière. Ses yeux étaient à de-mi-clos ouvert, regardant dans les yeux celui qu’il avait servi durant plusieurs années. La bouche était ouverte, le corps d’Eliot était inanimé, le sang avait envahi peu à peu le sol blanc, Shiroi s’était retrouvé dans une scène de crime d’où il était l’auteur. Le motif du meurtre était d’avoir tué son majordome plus qu’envahissant qui savait toute la vérité.
Il avait alors décidé de cacher le corps en l’enterrant dans le jardin ce qu’il avait fait après avoir habillé entièrement le corps d’Eliot. Il avait nettoyé ensuite toute la pièce puis la douche pour ensuite se laver. Il mit les habits à la machine à laver mais comme il ne savait pas l’utilisé il avait décidé de l’enterré dans le même endroit que le cadavre sanglant. Il avait récupérer le couteau du corps de la victime pour ensuite le nettoyer. Il avait fait ces choses très vite malgré le fait qu’il soit fatigué. Il avait déjà échafaudé tout un plan pour qu’il ne soit pas arrêté par la police et mit en prison. Une fois que tout était finit il s’était coucher puis dormait jusqu’au lendemain.


Spoiler:


Chapitre deuxième : Déchéance d’une bonne à tout faire don la détresse sera sa perte.

Hasley s’était réveillé après une mauvaise nuit de sommeil avec des cauchemars atroces. Elle avait préparé un bon petit déjeuner bien copieux pour Shiroi qui était encore en train de dormir. Elle repensait à son sombre rêve qui n’avait pas quitté ses pensées une seule fois. Elle était bien habillé et bien coiffé, servant Shiroi dès qu’il était réveillé. Son maître lui demande alors de l’habiller et de le préparer. C’est alors qu’elle avait eu une étrange intuition. Elle se demandait bien pourquoi c’était à elle de le faire et pas à Eliot. Où était Eliot se disait-elle. Et si son cauchemar était réel ? D’ailleurs son cauchemar c’était qu’elle avait tué son frère. Elle revoit encore les images affreuses dans sa tête soudain, elle avait réalisé quelque chose. Dans ses souvenirs, elle avait vu le reflet de quelqu’un, une silhouette masculine dans le sang de son frère qui s’était étendu sur le sol. Ces images l’avaient hanté, et si c’était vrai ? Et si son frère était mort ? Et par qui, elle ou quelqu’un d’autre ? Elle avait secoué sa tête avant de mettre le linge dans la machine à laver. Elle avait vu que les boutons était tourné n’importe comment, comme dans son « rêve ». Elle avait mis le linge puis refermer la machine. Elle avait trouvé, sur le chemin du retour, un peu de terre séché. Elle avait pris peur puis fit vite le ménage. Elle avait trouvé ainsi toute sorte d’indices qui prouvait que ce meurtre avait bien eu lieu. Elle commence à faire son travail très vite, effaçant les traces profondément comme-ci elle ne voulait pas reconnaître ces multitudes d’indices, elle ne voulait surtout pas y croire.
Déboussoler, elle avait demandé à Shiroi où était Eliot, celui-ci lui avait répondu qu’il ne savait pas et qu’il ne l’avait pas vu ce matin. Son cœur ne s’était pas arrêté de battre un seul instant, persuadé que tout ceci fait aussi parti d’un horrible cauchemar. Elle avait couru de partout, nettoyant les vitres, passant l’aspirateur, faisant plusieurs fois le lavement des vêtements, astiquant l’argenterie, suant de partout, complétement désorienté. Elle avait fini par se calmer après plusieurs médicaments prit à la suite dans l’empressement.
Elle avait jeté un œil par la fenêtre, regardant le sol et y voyait de la terre retourner. Elle s’était crispée, tremblant un peu des genoux. Ce n’était pour elle impossible que son frère était là, enterré dans le jardin. Elle avait ouvert la porte-fenêtre qui menait dans le jardin puis avança doucement vers l’amas de terre retourné dans tous les sens. Elle avait fixé la terre, le visage terrorisé, le corps tremblant. Toute une multitude de questions résonnait dans sa tête à en devenir fou. Elle vit une pelle pas très loin, elle avait de la boue dessus, comme déjà utilisé y’a pas longtemps. Pas longtemps, suffisamment pour avoir enterré un corps. Elle prit la pelle, les mains tremblantes, puis commença à retirer l’amas de terre. Elle n’avait eu pas à attendre longtemps avant de découvrir le corps de son frère. Elle avait lâché la pelle, se mordant à sang la lèvre pour le pas crié, les yeux terrorisés. Elle avait finalement comprit que tout était vrai, son frère est mort. Elle était tombée à genoux devant le cadavre, le regardant. Il ressemblait encore un peu à Eliot… La puanteur se faisait sentir. Elle avait mis ses mains sur sa tête et avait tiré ses cheveux, elle était désespéré. Elle pensait dur comme fer que c’était elle l’auteur du crime. Elle était alors montée tout en haut de la résidence des professeurs, regardant le vide. Elle avait pleurée à chaude larme une fois arrivé tout en haut. Sur le chemin, quand elle avait croisé son propre regard, elle se fracassait la tête contre les vitres, la pelle qu’elle avait repris en main servait alors à tout cassé qui pourrait la reflété. Elle ne pensant plus qu’à son frère, même pas à Shiroi alors que celui-ci, malgré les bruits inquiétant n’était même pas intervenu. Elle le vit sortir de la résidence, malgré la hauteur elle savait bien que c’était lui. Elle s’était rendu compte qu’en fait, c’était lui, la silhouette dans le sang, c’est son maître qui avait tué son frère. Elle s’était approchée du vide pour lui crier dessus : « Je sais que c’est toi qui a… » Elle n’avait pas eu le temps de finir sa phrase qu’elle avait glissé et tomba dans le vide. Elle avait criés son dernier mot « Shiroi ».


Spoiler:


Chapitre troisième : Tragique situation d’une mère déchiré dont les souvenirs sont réécrits.

La mère d’Hasley et d’Eliot qui est aussi la mère adoptive de Shiroi, appeler Elise. Elle était secrétaire à mi-temps chez Shiroi qui avait réécrits tellement de fois ses souvenirs qu’elle avait gardé de sévères séquelles. Elle oubliait tellement de choses, était si maladroite, elle avait la tête en l’air. D’humeur souvent pensive, elle était souvent joyeuse et faisait en sorte de bien faire ses travails.
Elle avait commencé son travail assez tôt, elle se prépara alors avant d’entrer dans un magasin en tant que caissière. Elle avait toujours son joli sourire rassurant et angélique qu’elle n’avait jamais eu avant que Shiroi lui modifie à son profit sa mémoire. Elle disait « Bonjour ! » avec une tonalité féminine accentué par le ton aigu qu’elle prenait. Elle y mettait avec le même entrain bien d’autre formule de politesse même si certaines personnes ne lui répondaient pas. Garder le sourire était primordial dans un magasin, c’est ce qui s’appelle le « sourire commercial ».
Vers ses fins de journées elle se mit directement à son travail de secrétaire. Elle s’était diriger vers la résidence puis elle avait aperçu une voiture de police. Elle avait couru pour voir si c’était quelque chose de grave. Elle voyait des gens s’affolés, crié, courir dans tous les sens. La police avait éloigné les curieux et des enquêteurs enquêtait sur non pas un crime mais deux. Ils avaient discuté sur la manière dont ces déroulé les scènes. Comment trouver la solution ? Cette situation était très endigue. Elise avait couru, passé les bandes jaunes aux écritures noires qui faisaient barrière puis d’un seul coup, elle s’était stoppée devant le cadavre de sa fille. La police avait essayé de repousser la mère qui était en larme en découvrant ainsi Hasley étendu sur le sol, morte.
Finalement après quelques heures la police avait su qu’elle était la mère des deux enfants retrouvés mort dans le jardin de devant la résidence des professeurs. Elle venait en une journée de perdre ce qu’elle chérissait le plus. Les enquêteurs n’avaient pas soupçonné Elise vu dans quel état elle était. Ils s’étaient donc penché soit le père, soit Shiroi puisque qu’ils étaient leurs employés. Tous les indices menaient au père qui était bouleversé qu’on l’accuse ainsi. Son épouse Elise, n’en n’avait pas cru ses oreilles. Elle s’était par la suite laissé convaincre par Shiroi dont elle avait toute confiance. Ce dernier l’avait incité à prendre une arme au cas où l’accusé venait à tuer celle-ci.
Un soir, elle était dans sa chambre quand son mari était rentré pour lui expliquer comme elle ne voulait rien entendre. Elise avait braqué le révolver sur l’accusé qui s’était retrouvé fort étonné. Il avait crié : « Mais tu es complétement folle de pointé cette chose sur moi ! » Elle n’eut pas le courage de le tué, elle disait qu’il n’en valait pas la peine. Elle avait tout perdue pensait-elle, ses enfants était sa raison d’être. Dans un élan de désespoir, elle tua l’homme qu’elle avait aimé puis se tua par la suite.
La police les avaient retrouvés un jour plus tard, ils étaient décidément complétement retourné par cette suite tragique de décès qui était encore non-résolu.


Spoiler:


Chapitre quatrième : L’arrestation incontesté du loup tombant dans sa folie meurtrière.

Shiroi rentrait du travail quand la police l’avait interpelé. Il ne s’était pas débattu, Shiroi les avait laissé le toucher mais celui-ci avait plus d’un tour dans son sac. Il leur avait fait tout oublié de leur passé, ainsi il vagabondait tranquillement. Mais quelques jours plus tard, la police avec du matériel spéciaux avait réussi enfin à attraper Shiroi et le mettre dans l’une de leur salles d’interrogatoires. Il était avec une camisole entière car le seul faite d’être à son contacte pouvait être dangereux pour les autres. Personne n’avait osé le questionné jusqu’à ce qu’un homme avec une carrure assez importante était entré dans la pièce. Il avait allumé la lumière sans prévenir même si en même temps Shiroi avait les yeux bandés car il pouvait aussi faire agir son don avec ses yeux. Il rit, allumant Shiroi avec plusieurs coup de poing avant de le questionné. Shiroi avait tout avoué, non pas parce qu’il avait peur de l’homme mais par fierté. Shi’ était fier de lui, il lui a dit qu’il avait tué son majordome, sa sœur, sa mère et son père de substitution et avait endommagé plusieurs autres personnes à sa guise. Mais quand le type lui avait demandé pourquoi Shiroi lui avait simplement dit qu’ils le méritaient tous ! Mais l’homme voulait absolument savoir pourquoi, même après lui avoir fait passer un tabac Shiroi n’avait pas craché le morceau. Au bout d’un moment l’homme lui avait dit : « Tu sais pourquoi j’te frappe ? Non ? Parce que c’est gratuit tout comme ce que tu as faits à tes victimes. Et j’avoue que j’aime frapper les salopards dans ton genre ! » Shiroi lui avait répondu en crachant du sang : « Franchement, entre toi et moi qui de nous deux est le plus grand des salopards ? Je sais ce que tu as fait, je l’ai vu dans chacun de tes coups. » Après ces mots l’homme avait terminé, il lui avait craché dessus puis était parti. Après quelques psys venus les jours suivant on avait déclaré Shiroi Jigoku comme fou. On l’avait placé dans un hôpital psychiatrique, enfermé sans lumière, attaché de partout par terre avec le sol, les murs et le plafond mou pour pas qu’il ne se suicide. Il était à présent seul, tous les jours, tout le temps, on le nourrit par perfusion et c’est tout. Rien d’autre que ça. On ne le soigne que partiellement, sa peaux est de plus en plus pâle car la lumière du soleil ne pénètre pas ici vu qu’il n’y a pas de fenêtre. Il ne se sent pas du tout bien, malade, toussant, le corps encore plein de bleus, recroquevillé sur lui-même dans un coin de la petite pièce. Plusieurs semaines passe alors, il est encore aux Bermudes, l’hôpital psychiatrique est à Bermia dans le Quartier Midnight, réputé comme un mauvais quartier. Ce serait la fin de l’aventure pour Shiroi ?

Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas

Jade Inora

Jade Inora

Psychic bronze
❖ Sexe : Féminin
❖ Arrivé le : 06/12/2012
❖ Missives : 63
Spécial : Hôpital Psychiatrique. Empty
MessageSujet: Re: Spécial : Hôpital Psychiatrique. Spécial : Hôpital Psychiatrique. EmptyDim 24 Fév - 21:54

CHAPITRE 1: SOUVENIRS , PASSION, AMOUR ET HÉSITATION... LEQUEL L'EMPORTERA ?

Peut m'importe ce qu'il a pu faire ! J'avais promis que je le suivrai jusqu'au bout !
Et c'est ce que je ferait !! Il avait tué Eliot...Je l'exercrait de tout mon être ce type de toute façon ! Quant à Hasley et les autres, je ne les connaissais presque pas du tout... Si il avait été fou, m'aurait-il témoigné tant de gentillesse au fil des jours ? Un petite attention chaque fois qu'il me voyait, un sourire doux et imperturbable malgré tout ce qui pouvait lui arriver...Personne ne m'avait déjà accordé autant d'attention sans me manquer une seule fois de respect, sans jamais essayer de se servir de moi! Cela pouvait paraître cruel pour les autres et ne me ressemblait pas du tout.
Avec mon adorable petit caractère angélique...Il était temps pour moi de grandir ! Par amour pour lui !
Je donnerait tout pour le récupérer ! Shiroi est à moi !!! A moi seule !! Pas parce que je veux me l'approprier, mais parce que je sais qu'à présent je serait la seule à pouvoir m'en occuper.
Je subirai toutes les tortures, physiques ou intellectuelles pour le récupérer ! Le jour du procès arriva bien vite, et malgré tous mes arguments, toutes mes propositions pour réduire sa peine, le juge ne plia pas ...Il avait pour réputation d'être sans pitié et il s'y tenait. J'appris un peu plus tard qu'il avait aussi un faible pour les courbes féminines. Un pervers pour résumer, même s'il ne transgresserait pas la loi pour autant. Je m'arrangeai donc en privé avec lui, jouant de mes charmes le plus habillement possible. J'aurai voulu l'éviter mais je perdis aussi ma virginité lors d'un petit entretien dans son bureau un soir où il était un peu éméché...
J'aurai voulu rester pure pour sensei, mais c'était ça ou sa liberté !
Je finis par obtenir sa libération sans suites contre l'effacement le plus complet possible de sa mémoire, qu'il garde seulement l'essentiel pour vivre correctement.
Mon ami, mon amour...Qu'allais-je faire ?!
Car je devais tout lui faire oublier...y compris les moments délicieux que nous avion passé ensemble... Quant à moi, je n'oublierai jamais....


Spoiler:

CHAPITRE 2: IL EST TEMPS DE FAIRE UN CHOIX, ET D'AGIR !

On m'avait généreusement confié la charge puisque j'étais à présent la seule à pouvoir m'en approcher, et à vouloir l'aider aussi... Tout mon corps se refusait à cette initiative et mes jambes déjà naturellement frêles tremblaient comme des feuilles le jour de ma visite dans le bâtiment hautement sécurisé où il croupissait depuis un bon moment.On lui avait enlevé son cache des yeux pour l'occasion, dévoilant son regard profond et envoûtant, si déroutant et réconfortant à la fois.

J'arrivais lorsque le garde allait changer son petit sachet de nourriture liquide.
Et sensei, malgré tous ses liens, essaya de se jeter sur lui rageusement. Celui-ci, aucunement intimidé et sans la moindre hésitation, lui envoya une bonne décharge électrique avec son taser.
Le corps entier de Shiroi fut parcouru de spasmes et de soubresauts. Son nez se mit à saigner abondamment et je ne pus retenir de chaudes larmes qui coulèrent le long de mes paumettes rendues livides par la tristesse. Je le supplia d'arrêter, hurlant presque. Il recula, me fixa longuement, eut un petit sourire satisfait et nous laissa seuls dans la grande pièce blanche et lugubre. Je me précipita vers lui et passa un petit coup de mouchoir sous son nez afin d'enlever le plus gros du sang.
Étendu sur le sol, les membres encore parcourus de frissons électriques, il me regarda avec douceur en souriant, me voyant comme une présence amicale, bienfaisante. Je lui rendis un sourire triste et passionné à la fois, ne cachant plus mes sentiments pour lui....Vu ce qui allait se passer, à quoi bon?
Je sortis discrètement un couteau de mon étoffe de daim synthétique qui sentait bon le jasmin et trancha net un des liens qui retenait ses avant-bras. Les contrôleurs à l'entrée m'avaient jugée comme innofensive...Pfff bande de crétins...Ne jamais se fier aux apparences !
Regardant d'abord autour de moi puis n'ayant finalement d'yeux que pour lui, je saisis avec douceur une de ses mains entre les miennes, tremblantes, et la posa délicatement sur son front.
Je me pencha vers lui et lui offrit un baiser....Mon premier...
A présent, j'avais empreint tous mes sentiments sur ses lèvres. Comme gravé au plus profond de nous deux au fer rouge, ce lien ne s'effacerait jamais, j'en fis le serment !
Je lui glissa avec fougue et conviction à l'oreille la seule chose qu'il devait entendre de moi à cet instant...Je n'aurais su que dire d'autre de toute façon...

<<Je t'en supplie... Ne m'oublie pas !
Je t'aime ! Ne m'oublie jamais ....
>>


Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas

Shiroi Jigoku

Shiroi Jigoku

Professeur
❖ Sexe : Masculin
❖ Arrivé le : 14/11/2012
❖ Missives : 100
Spécial : Hôpital Psychiatrique. Empty
MessageSujet: Re: Spécial : Hôpital Psychiatrique. Spécial : Hôpital Psychiatrique. EmptyJeu 28 Fév - 11:19

Et l’inattendu se produisis ...

Alors que j'étais au bort de la mort si j'puis dire, un ange arriva à travers les démons qui me punissait chaque jour de différentes manières pour mes crimes. Elle semble très inquiète, elle me voit me faire mettre des coups de taser et ça fait juste hyper mal cet appareil, il l'a presque mit au maximum, ça va encore me laisser des traces !
Jade supplie le type d'arrêter, ce qu'il fit. Il garde un aire satisfait de me voir ainsi souffrir. Ma délicieuse élève quand à elle, prit un mouchoir et essuie le sang qui coule de mon nez. Il n'y a pas été de main morte, remarque, ça leur plait de me voir comme ça. Une fois qu'elle m'aura libéré je me vengerai et ils regretteront de m'avoir mit en colère. Je vais les ridiculiser, les torturer, les humilier, les arracher de leur familles chérie cette chose qui nous empoisonne la vie, et enfin ils mourront ou alors ils subiront leurs châtiments qu'ils ne se pardonneront jamais, tuer leurs enfants et leurs et même leurs meilleurs amis ! Mon don peut faire tout ça, je suis dangereux, si dangereux... Ils vont tous regretter, ils ont invités le démon et ce démon va leurs faire souffrir jusqu'au plus profond de leur âmes ! Et je pense cela avec un grand sourire maléfique qui se dessine tandis quelle regarde mon état pitoyable.
Ahhaaaaaa... elle me délivre de ma camisole la gentille petit fille ! Mais ? Qu'es ce quelle fait ? Pourquoi elle prend ma main ? Mon front ? Pourquoi je dois toucher mon... Elle... Elle m'embrasse ! L'innocente petit Jade aime un sadique comme moi ? Hum... c'est vrai que j'avais un faible pour elle... Mais qu'es ce qu'elle fait encore ?
Je tombe en arrière, un peu sonner, elle me glisse quelques paroles dans mon oreilles "Je t'en supplie... Ne m'oublie pas ! Je t'aime ! Ne m'oublie jamais ..." Pourquoi je l'oublierai...


Spoiler:

Shiroi garde les yeux mi-clos, totalement chouté par ses pouvoirs, ne comprenant rien à ce qu'il se passe. Finalement il quitte l'asile psychiatrique avec Jade puis ils se rendent à l’hôpital. Shiroi se retrouvent sur un lit blanc, soigner par des infirmières et un médecin plutôt compétant. Jade passe alors le voir tout les jours, Shiroi ne sais plus qui elle est. Il a vraiment tout oublié, Il lui sourit, restant poli et gentil avec la seule personne qui daigne à le voir. Il se demande bien pourquoi il n'y a qu'elle, il a bien un famille se disait t-il. Après plusieurs jours à l'hosto' il prit ses affaires que Jade lui avait acheter puis va la rejoindre dehors.

- Je... Je suis prêt. Dit-il d'une petite voix.

Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas

Jade Inora

Jade Inora

Psychic bronze
❖ Sexe : Féminin
❖ Arrivé le : 06/12/2012
❖ Missives : 63
Spécial : Hôpital Psychiatrique. Empty
MessageSujet: Re: Spécial : Hôpital Psychiatrique. Spécial : Hôpital Psychiatrique. EmptyJeu 28 Fév - 19:20

Un Nouveau départ, loin des cauchemars d'antan...ça existe ?

Comme je le craignais, il a tout oublié...Il m'a oublié....Même s'il me fait confiance car je m'en occupe, il ne se doute pas de ce que j'ai fait, de ce que je peux ressentir chaque fois que je l'aperçois....Je sors me calmer chaque fois que je sens le chagrin remonter.
Il ne faut pas qu'il me voit dans cet état, après tout, la situation n'est peut-être pas si désespérée puisqu'à partir de maintenant il va vivre avec moi étant donné que son appartement n'est plus vraiment "habitable" à cause des enquêtes de la police qui ont créé un remue-ménage sans nom dans le quartier et des quelques proches des victimes qui ont monté tout le monde contre le seul coupable. Mais je me garderait bien de le ramener dans les environs.
A présent, je dois le protéger de ses propres erreurs. Il est resté plusieurs jours dans un sale état, heureusement, le médecin l'a vite remis sur pieds sans poser de questions sur la cause de toutes ses cicatrices. Ouf ! En réalité, ma charge est presque d'effacer toutes les informations sur son ancienne vie, tant aux yeux des autres qu'aux siens...

Spoiler:

C'est le grand jour, sensei va enfin sortir.J'ai tout prévu pour qu'il se sente comme chez lui quand il viendra s'installer. Même si c'est un peu petit, ça devrait faire l'affaire. Je l'attends devant l’hôpital en avalant goulûment mon chocolat chaud avant qu'il ne refroidisse. J'entends un petite voix derrière moi, un voix très familière...

-Je...Je suis prêt.

Je me retourne, effaçant ma mine angoissée et lui faisant un grand sourire. Je lui dis chaleureusement.

-Bien ! Allons-y alors !

Je lui prends la main avec un naturel qui m'étonne moi-même. Comme si je l'avais toujours fait. J'ai aussi décidé de le tutoyer à partir de maintenant. Après tout, si je dois réécrire sa mémoire en quelques sortes, autant en profiter un peu non ?
Je le guide dans la rue, m'arrêtant devant certaines boutiques pour lui trouver de beaux habits puisqu'à présent tout son mobilier et une grande partie de ses affaires sont des pièces à conviction. Et c'est dans ces cas là que je remercie mon bienfaiteur qui m'a pris en charge lorsque je suis arrivée ici et qui me verse généreusement de l'argent chaque mois !
Je fais faire quelques essayages à Shiroi, lui expliquant au passage qu'il a eu un accident et qu'il est un peu amnésique. Je lui dis que nous vivons ensemble depuis peu comme colocataires et lui dit où il travaille, essayant de déterminer ce dont il se rappelle ou pas.

-Wah ce manteau te va vraiment bien ! Allez, je vais payer et on rentre !

Eh oui, du jour au lendemain je suis devenu un petit ange gardien...Mais ça ne me dérange pas trop pour l'instant. Et puis, être l'ange gardien de celui qu'on aime...Quel beau métier !
Nous rentrons et je lui fait rapidement faire le tour de l'appartement. Je lui prépare un café en lui expliquant les règles de base, le prix du loyer, le tempérament des voisins...en bref, tout ce qui pourrait à un moment ou un autre lui être utile. Je sens que ce jour va changer mon quotidien plus que je ne peux m'en douter. Plus qu'à espérer que la situation ne tourne pas au chaos, pas une nouvelle fois...

Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé


Spécial : Hôpital Psychiatrique. Empty
MessageSujet: Re: Spécial : Hôpital Psychiatrique. Spécial : Hôpital Psychiatrique. Empty

Revenir en haut Aller en bas

Spécial : Hôpital Psychiatrique.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
New Age :: Bermia-